Une frappe nucléaire aurait détruit une ancienne civilisation martienne, selon un expert de Harvard
Auteur: Simon Kabbaj
Derrière sa poussière rouge et son atmosphère ténue, Mars pourrait cacher l’un des plus grands drames cosmiques jamais survenus. Un chercheur de l’université de Harvard, le Dr John Brandenburg, avance une théorie déroutante : une ancienne civilisation martienne aurait été anéantie par une frappe nucléaire d’origine non terrestre. Des traces radioactives détectées à la surface de Mars pourraient bien être les vestiges d’un événement apocalyptique, laissant planer une inquiétante question : Mars a-t-elle été le théâtre d’une guerre interplanétaire ?
1. Des indices radioactifs qui font froid dans le dos

En menant des analyses atmosphériques dans le cadre de ses recherches, le Dr Brandenburg a relevé une anomalie saisissante : la présence anormalement élevée de xénon 129 dans l’atmosphère martienne, un isotope que l’on retrouve sur Terre dans les zones de tests nucléaires. Ce phénomène s’accompagne d’un flux de neutrons intenses dans les régions nordiques de la planète. Ces marqueurs laissent penser à une explosion nucléaire brutale, très différente d’une activité volcanique ou d’une désintégration naturelle. Pour un scientifique de formation classique, ces résultats ont été « impossibles à ignorer ».
2. Cydonia et Galaxias : les deux cicatrices du passé

Les indices radioactifs relevés par Brandenburg ne sont pas dispersés au hasard sur la planète rouge. Ils convergent vers deux régions précises du nord martien : Cydonia Mensa et Galaxias Chaos. Situées autour du 50e parallèle nord, ces zones sont connues depuis les missions Viking dans les années 1970. Ce sont des lieux aux reliefs étonnamment symétriques, où certains pensent reconnaître des structures artificielles.
À Cydonia Mensa, on retrouve notamment le célèbre « visage de Mars », une formation qui, vue du ciel, ressemble à une tête humaine. Autour, des images satellites ont révélé des formes triangulaires, carrées ou pyramidales, alignées d’une manière qui évoque un plan urbain délibéré. Galaxias Chaos, quant à elle, présente un terrain chaotique et effondré, mais aussi des structures à angles droits, peu compatibles avec une érosion naturelle classique.
Brandenburg affirme que ces deux régions correspondent exactement aux centres d’émission du flux de neutrons, les plus touchées par les traces de fission nucléaire. Cette coïncidence géographique alimente l’idée que ces lieux n’étaient pas seulement habités, mais aussi ciblés, comme s’ils avaient été volontairement détruits. Et si les formations que l’on y observe n’étaient pas de simples collines, mais bien les vestiges d’une ancienne ville martienne pulvérisée dans une frappe d’une ampleur colossale ?
3. Une explosion équivalente à celle qui a tué les dinosaures

Les calculs énergétiques réalisés par Brandenburg sont stupéfiants. Selon ses estimations, la puissance dégagée par ces explosions atteindrait 10 milliards de mégatonnes, soit autant que l’astéroïde responsable de l’extinction des dinosaures. L’absence de cratères laisse penser que les détonations se sont produites au-dessus du sol, à l’image des explosions nucléaires en altitude sur Terre. Ces événements auraient non seulement anéanti toute vie martienne, mais aussi transformé radicalement le climat de la planète, la faisant passer d’un monde humide à un désert glacé.
4. Une civilisation primitive mais ingénieuse

Mais qui étaient ces Martiens ? D’après Brandenburg, les traces laissées dans les zones d’impact suggèrent l’existence d’une civilisation indigène à Mars, technologiquement primitive par rapport à nous, mais dotée d’un sens de la géométrie et de l’ingénierie avancé. Certaines images montrent ce qui semble être des briques symétriques, des plateformes pyramidales et même un “visage” sculpté. Si nombre de scientifiques y voient des illusions d’optique (pareidolie), Brandenburg insiste sur les détails visibles avec les nouveaux instruments, comme des narines ou des ornements de casque sur le fameux “visage de Mars”.
5. Une mise en garde pour l’humanité ?

Cette théorie ne fait pas que relancer le débat sur la vie extraterrestre. Elle pose une question vertigineuse : si une civilisation martienne a été détruite par une puissance nucléaire venue de l’extérieur, qu’est-ce que cela signifie pour nous, ici sur Terre ? Brandenburg lie cette hypothèse au paradoxe de Fermi, selon lequel l’univers devrait grouiller de civilisations… mais reste silencieux. Peut-être que les civilisations sont régulièrement effacées avant de pouvoir explorer l’espace. Une chose est sûre : explorer Mars n’est plus seulement une curiosité scientifique, mais un impératif pour comprendre notre propre destin.
6. Conclusion – Mars, un avertissement venu du passé

Si la communauté scientifique reste prudente, elle ne peut ignorer les données physiques bien réelles. Les isotopes nucléaires, le modèle énergétique des explosions et les structures étranges sur le sol martien interpellent et divisent. Même si certains restent sceptiques quant à leur origine artificielle, les faits sont là : quelque chose d’énorme s’est produit sur Mars. Et cela nous pousse à réfléchir. Sommes-nous à l’abri d’un sort similaire ? Ou sommes-nous tout simplement les prochains sur la liste des civilisations oubliées ?